COSTES REGLE SES COMPTES...
"JE HAIS LES RACES"
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1) L'ARTISTE CRIMINEL
Quand je dis je crie dans une chanson "mort aux bicots" ou bien "je hais les negros",
forcement il va se trouver des ames bonnes et bien pensantes pour se pretendre choquees
et elever leurs petites voix fluettes : "costes salop raciste, plus jamais ca, etc...".
Deja, bizarrement en general c'est des blancs qui sont choques,
des bons petits blancs moyens qui se posent en sauveurs de pauvres noirs opprimes.
Les "negres" et les "bicots", eux, ils se marrent :
ils savent bien faire la difference entre les vociferations d'un fou sur un cd et le racisme,
le vrai, souriant et insidieux,qui evite et exclue en douceur la plupart du temps
et, s'il est violent, il l'est vraiment,
c'est pas des mots mais des coups ou des balles,
du vrai danger et de la vraie peur.
Ouais objecteront certains, mais les mots aussi peuvent faire mal
en insultant des gens qui se sentent attaques et blesses par ces propos,
et meme tuer en influencant des debiles,
les encourageant dans leurs opinions racistes
et les poussant a passer a l'acte :
une nuit des skins m'ont telephone pour me dire qu'ils venaient de tuer un pakistanais
apres avoir ecoute "livrez les blanches aux bicots"
et que, quoique je pretende pour me laver les mains de ce crime,
j'en etais responsable puisque c'etait mes paroles qui les avaient decides a passer a l'acte.
Me voici donc propulse dans le role du fuhrer.
Vous me direz qu'au fond je l'ai bien cherche...
(Car au fond, faire des chansons, vendre des disques,
toujours plus de disques toujours plus de chansons,
c'est une quete du pouvoir, une volonte de puissance.
C'est sans fin, je suis insatiable!
Toujours plus de disques, toujours plus de chansons, toujours plus de fans!
Mais c'est Hitler ce Costes!
Costes, l'Hitler de la musique!
C'est vrai que la je cale un peu intellectuellement
quand on me dit que l'art influence le criminel
donc l'art est complice du crime,
et je culpabilise vaguement...
(je culpabilise vaguement mais en fait je suis fier et content
d'avoir une influence,meme malefique tant pis,
ca prouve qu'on m'ecoute, ca prouve que j'existe.
Et si je repondais que l'oeuvre d'art n'est pas la realite,
que les artistes ne peuvent etre tenus pour complices
de tous les crimes qu'ils representent
car ils ne font qu'exprimer la realite qui les entoure,
alors je nierais l'influence de mes textes,
mon influence donc mon existence.
C'est affreux d'etre un criminel
(affreux pour la victime surtout)
(quoique, pour les morts, rien n'est affreux : ils se foutent de tout les morts)
C'est peut etre affreux de tuer
mais c'est pire encore de ne pas exister.
Si je niais l'influence de mon art
donc son importance, donc mon existence,
ca pourrait me rendre criminel pour de vrai
par rage par rapport au public incomprehensif / futures victimes,
par jalousie par rapport aux criminels respectes puisque crains :
si je ne peux exister dans l'art alors il faudra que j'existe dans la realite!
= puisqu'on nie mon existence, je nie celle des autres
= si on me tue, je tue;
principe de legitime defense...
Mais...l'art c'est vrai ou pas?
Si ca peut tuer ca prouve que c'est vrai,
que c'est du serieux, pas du pipeau de pede branche.
Si un artiste est un tueur alors c'est un vrai mec merde!
un baroudeur, un tueur ouais!
un tueur en masse meme
puisque il peut declencher un nombre infini de crimes
par l'intermediaire d'auditeurs qu'il a envoute par son oeuvre malefique
tres loin de lui, hors de son aire geographique :
je peux tuer loin de chez moi par la main de mes disciples armes de mes chansons!
Ahh le pied, sensation fantastique de puissance!
Tuer sans lever le petit doigt, d'un mot,
d'une suggestion a mon fidele disciple au loin.
Ahhh moi Costes, tyran musical, on peut dire que j'ai reussi!
Je peux meme tuer a titre posthume!
Mais si : imaginez des siecles apres ma mort
des connards ecoutent "livrez les blanches aux bicots" ou 33eme siecle
et ils sortent et ils tuent les arabes de l'epoque
(si ca se trouve, en plus, les negres de l'epoque ca sera des blancs?!)
Ahh jouissance supreme, but supreme de l'artiste
que de laisser sa marque sanglante a travers les siecles!
Et quoi merde! L'art qui tue a travers les siecles,
vous allez quand meme pas me dire que c'est de la culture sclerosee de musee!
Tant pis je le dis : si mes chansons au moins une fois ont tue,
j'en suis heureux et fier, bon peut etre pas heureux, en tout cas fier,
fier d'avoir realise quelquechose de tangible,
une chanson solide et efficace comme une lame, une chanson qui tue, mon reve!
Ou une chanson qui fait pleurer, rire jouir
A tous ceux qui se sont branles sur ma musique,
a tous les branleurs et tous les assassins je dis merci
merci mes amis
Ok oui j'avoue
je cherche a m'affirmer en influencant les autres
(la preuve ce texte, now philosophe, bientot guru...).
Je cherche avant tout a manipuler les esprits par la combinaison des mots et de la musique,
la musique faisant sombrer l'esprit dans l'irrationnel
pour mieux le convaincre de la verite de mes mots :
avec de la musique n'importe quel message passe,
meme le plus fou, le plus idiot, ridicule, irrationnel,
impossible a tenir dans le discours normal, hors contexte musical.
Donc je melange texte et musique
pour entrainer l'auditeur dans des sensations fortes, violentes, dramatiques,
qui le sortent de l'ordinaire ennui et l'entrainent dans un monde fantastique, pseudo reel
(les elements du reels qui parsement le discours lui font croire a sa verite
alors que de fait le raisonnement est faux (ou vraiment vrai???)
(glups : mon faux serait-il votre vrai?!...je reve!)
En tout cas j'entraine a dessein l'auditeur dans un monde faux qui parait vrai.
J'agite des mots vrais , des "bicots" et des "negros empailles,
des mots qui resonnent en lui, des mots qui l'obsedent,
les mots de ces cauchemars pleins de negres violeurs et arabes assassins,
oui je sais tu le nies mais je sais bien a quoi tu reves salop la nuit
et meme le jour eveille dans le metro
quand tu vois les bandes racaille de banlieue,
dans tes yeux et les miens aussi on voit la peur,
la peur des nomades fous sans loi, sauf la leur entre eux,
qui montent dans les wagons de la societe au hazard sans destination
et violent et pillent et saccagent. La crainte d'eux voit dans nos yeux
et ce n'est peut etre que ca qui les enerve et les poussent au crime?
Si ca se trouve cinq minutes avant,
cinq minutes avant de voir nos yeux, mes yeux fixes,
les fixant apeures puis tres vite les evitant comme si je n'avais rien vu,
comme si on pouvait ne pas les voir ces bandes bruyantes!
"encules de saifrancs hypocrites et trouillards!"
Cinq minutes avant de me voir ils etaient cool sur le quai
a danser sur leur musique cool et tout,
mais de voir vos yeux fixes sur le plafond plancher,
n'importe ou sauf sur eux qui hurlent sonores et visuels;
c'est pas credible quoi qu'on les voit pas
, ca les enerve, ca nie en douce leur existence
et ca se repete mille fois par jour depuis la naissance
ces regards polis polices glissant
forcement a force ca enerve de se sentir ignore
(essayer d'ignorer mais en fait obsedes),
de sentir les yeux des passants
poissons morts (ca pue le poisson pourri)
qui vous glissent = pissent carrement, dessus...
alors la ca les enerve et ils cassent,
vous nous, nos wagons, notre fric, nos femelles,
tout va y passer merde!
Heureusement des fois qu'il reste encore un peu de flic dans les assassins
pour les arreter avant que les flics les arretent!
Ahh vous voyez bien!
vous les voyez ces bicots et c'est negros
dans le metro violer et piller
et pourtant ils ne sont pas la.
Ils ne sont que mots sur l'ecran comme mots sur la chanson,
ils n'existent pas ici mais c'etait comme s'ils etaient la
car vous coimme moi nous savons croyons que quelquepart, ailleurs, ils existent,
et leur realite ailleurs vous fait croire a la verite du texte, de la chanson,
du faux a l'image du vrai
et nous glissons ensemble dans l'illusion glissante du faux a l'image du vrai,
l'agreable glissade sans danger dans le faux danger des vrais illusions,
ou vice versa, c'est sans importance,
n'importe quel vice, n'importe quel versant,
tout ca n'est vrai que dans le faux, alors profitez du frisson,
c'est que de la chanson, agreablement fausse,
une fausse note? quelle importance?
L'enchainement fil de la pensee diarhee verbale musicale
est different du train-train rationnel non musical,
c'est pas un raisonnement puisque c'est musical,
des mots en musique,
n'importe quoi aligne mais ca parait plausible,
ce qui compte c'est l'ambiance,
bonne ou mauvaise, ce qui compte c'est qu'il y ait de l'ambiance.
Laissez vous bercer par les crimes, les douleurs et les beautes,
meme la tendresse est plausible, c'est dire le delire!
La parole n'est plus matee par la morale et le principe de realite
= pour eviter le danger je mens...
Et le mic-mac sonore violent et dramatique fait mysterieusement plaisir
(on peut meme dire que plus la situation, les actes,
les sentiments mis en scene dans la chanson sont extremes, violents et atroces,
plus on a du plaisir a les ecouter,
en tout cas, moi Costes, plus j'ai du plaisir a les ecouter.
D'autres aussi j'en suis sur.
Sommes nous tous pour autant des assassins en puissance
qui en vivant des crimes imaginaires s'entrainent et repetent leurs vrais crimes futurs?
C'est evident pour moi que nous sommes tous des criminels en puissance :
c'est facile de tuer,
un coup suffit, un choc et l'homme meurt betement vite fait,
comme ca il s'ecroule et le sang coule
et ya meme pas de sang et il est mort,
c'est a la portee du premier connard venu, du plus faible d'entre nous.
C'est mou facile et chiant de tuer vraiment surement.
Tuer un homme ca doit etre comme quand j'ai tue un poulet,
c'etait idiot et calme, sans interet,
le poulet me regardait et moi je le tuais,
mais ce con la il serrait sa gorge solide et j'arrivais pas a l'egorger...
a la fin je l'ai eclate contre le mur,
une fois deux foix, vingt fois, a la fin il etait mort
mais yavait plus rien a bouffer car il etait en bouillie
et yavait du sang et des intestins et des plumes
melanges partout jusque dans mes cheveux
mais plus de viande bouffable pour le barbecue.
Con et merdique.
Donc pour tuer bien faut etre pro
et les supposes assassins qui prendraient mes textes pour des ordres du fuhrer iraient devant bien des deceptions sanglantes et miserables.
On ne tue pas parce qu'on a ecoute un disque,
on tue parce qu'on a une raison de tuer, une bonne ou une mauvaise raison
(les assassins et leurs victimes n'ont pas le meme point de vue
sauf quelques debiles martyrs chretiens ou autres cousins juifs islamiques
qui sont heureux de mourir et remercie le bourreau :
merci mon frere de me donner la mort qui me sauves de la vie!
les cons!).
Bon moi je sais plus de quoi je parlais...
ah oui je suis raciste
et, a cause de mon racisme, les raciste sont plus racistes et mechants
et les pauvres noirs et affilies plus victimes et massacres.
(ici je remarque que dans la tete des blancs cures journalistes
et monsieur tout le monde de l'anar au catho,
le noir est forcement le "pauvre noir", la victime attitree.
Ca a l'air sympa et bon mais en fait c'est degueulasse :
sous pretexte de les defendre et de les aider
ca designe certains comme victimes de naissance et pour l'eternite,
des victimes supposees incapables de se defendre elle meme,
des eternels perdants qui seraient voues au massacre
si quelques bons blancs ne s'elevaient, ne s'interposaient avec courage et grandeur d'ame
entre l'epee du mechant blanc et la tete du pauvre noir
pour arreter le massacre :
- dis "merci" pauvre noir
- merci bon blanc.
Sous pretexte d'aider les noirs
les apprentis kouchner les designent comme des sous hommes
incapables de prendre leur destin en main.
Ils apprennent aux "designes noirs" qu'ils ne doivent leur survie
qu'a l'aide eclairee du bon docteur venu les sauver in extremis en helicoptere. Ce faisant, ils insultent et paralysent mentalement des gens
en leurs faisant croire qu'ils sont des pauvres etres sans defense
(noirs evidemment, comme ca ils sont plus faciles a reconnaitre).
Je pense toujours a ces enfants
qui soir apres soir devant la tele
apprennent qu'ils sont noirs, apprennent qu'ils sont faibles,
l'apprennent simultanement et inextricablement,
au point que noir devient synonyme de faible,
et se forgent une identite sur ces bases vicieuses,
une identite "noir je suis noir" de noir victime.
Avant de se savoir noir/victime
ils ne savaient meme pas qu'ils etaient noirs.
Ils apprennent en meme temps a etre noir et victime
tant ces deux notions sont systematiquement liees dans l'air du temps.
Heureusement, ils peuvent se sauver de leur tare originelle
en faisant du sport ou de la musique,
car la nature qui ne fait pas tout mal
t'as mis a cote de tes tares dans ta peau de noir des qualites :
le don de la danse et les gros muscles
alors t'as qu'a gagner le 100 metrees aux j.o. ou faire NTM et tout ira bien,
de ton mal (ton faible esprit domine par les instincts, les gros bras et le tam-tam) naitra le bien (les negro-spirituals et les negro-rambos).
La reussite du noir c'est toujours la reussite contre, malgre;
contre le ghetto, la misere, malgre la violence, la drogue,
la reussite malgre tout,
c'est comme ca que les blancs presentent les noirs qui ont "reussi"...
et c'est comme ca qu'ils se representent eux memes!
Cons et collabos!!
: ils sont la ou ils sont malgre leurs tares de naissance,
malgre leur peche originel
et quel courage exceptionnel il leur a fallu pour surmonter le handicap de leur peau!
Saluons les pour cet exploit extraordinaire
et qu'ils servent d'exemple aux autres noirs, aux jeunes:
vous voyez, c'est possible de reussir quand on est noir,
avec beaucoup de courage de perseverance et de volonte,
tu peux le faire mon frere!
Le pire c'est que meme les noirs, surtout les noirs colportent cette merde,
toujours ils parlent du ghetto et de la misere etc...
(comme si il n'y avait pas des noirs fils de petits bourgeois antillais planques aux pttt!)
(mais bizarrement "noir normal" ca a pas l'air cool, c'est pas credible
; la legende veut que le noir naisse faible et pauvre
ne pas se conformer au destin de sa race c'est la trahir
, si un noir "reussit" c'est qu'il a force le destin inevitablement
c'est pour lui ce fut facile d'arriver la ou il est,
alors c'est pas un vrai noir,
c'est un faux, un blanc bronze!
Les noirs qui ont "reussi",
qui tiennent le micro, qui montent sur le podium
sont les ambassadeurs devoues de l'ideologie "blanche"
exploitation/aide humanitaire, oppression/pardon :
en insistant sur les soi-disant handicaps inherents a leur race qu'ils auraient surmontes,
en accusant la societe "blanche" d'avoir gene leur ascension sociale
ils confirment dans la tetes de millions de niais qui se voient noirs dans le miroir
qu'etre noir c'est la merde,
c'est la galere obligatoire, la tare de naissance
et le combat perpetuel pour la survie, que les noirs "arrives" pretendent avoir mene victorieusement,
face a des blancs dominants et puissants,
plutot que de celebrer la victoire des noirs,
prouve la superiorite des blancs pour qui tout est plus facile
= si c'est plus facile pour costes blanc ca doit etre qu'il est plus fort et malin,
et si c'est plus dur pour costes noir, ca doit etre que je suis plus con et faible.
On applaudit a la victoire du noir contre l'oppression blanche,
mais au fond tout le monde, noirs compris, se demande
si ca serait pas plutot la pitie du blanc plutot que les qualites du noir
qui lui permettent de frimer la ou il frime
avec ses recits pseudo-epiques de vainqueur malgre tout du racisme...
Ainsi blancs unanimes qui se croient blancs et pretendent en etre desoles
(mais au fond il vaut mieux etre dominant et mechant,ou dominant et bon ca fait plus chic,
que noir et impuissant et a la merci des autres petits chanceux
nes tout blanc de bites et vagins bcbg bonne couleur bonne gueule)
et noirs vedettes collabbos precheurs de revolte
contre l'oppression/domination par les mechants blancs
donc confirmant l'illusion de l'oppression/domination raciale,
s'associent diaboliquement dans leur sale jeu je t'aime pauvre noir/je te hais sale blanc
pour confirmer aux yeux-esprits de tous le mensonge vrai
(un mensonge devenu vrai puisque tous semblent y croire)
de la domination blanche sur tous les plans
- bon ok je te laisse la variete et le 100 metres haies pour t'amuser
mais je garde l'informatique et la bombe atomique, les choses serieuses quoi!
Oh la longue complainte-litanie des souffrances de la diaspora noire,
les nouveaux juifs damnes de l'histoire.
Oh rappeurs noirs precheurs nouveaux styles accusateurs, vous paraissez bien purs preux defenseurs de votre bon peuple,
mais en fait vous n'etes que des ordures
qui enfoncez la racaille dans son impression d'etre racaille :
meme les arabes, beurs et autres, vous leur faites croire qu'ils sont noirs!
pour agrandir votre fond de commerce d'exploiteurs du club des victimes.
Plus il y aura des connards bazanes pour se croire victime du destin,
ta peau bronzee, tache de naissance,
plus ntm vendra de disques
pourfendeurs de racisme qui martelent de fait sans cesse l'idee de race
En verite encules,
le racisme est le fumier sur lequel vous prosperez!
et vous bons blancs kouchners pourfendeurs de Costes
qui vous apitoyez sur la "misere des negres",
pretendant le "noir" faible vous affirmez la superiorite de fait du blanc,
ayant pitie du noir vous le designez comme vaincu
, maudissant le blanc vous le designez comme vainqueur.
Plus il y aura de massacres au Rwanda (vivement le Burundi!)
plus Kouchner and Co passera a la tele,
plus il jouira de son pseudo-pouvoir de nouveau cure
pere missionaire de l'humanitaire.
En verite encules,
le racisme est le fumier sur lequel vous prosperez!
Les temoignages combats de la racaille "heroique qui a reussi"
se melent avec harmonie aux protestation chants expiatoires appels a la pitie des bons peres blancs humanitaires en pleurs.
Le temoignage de la victime est la preuve de la force du bourreau.
Rappeurs Sermonneurs et Peres Humanitaires,
complices diaboliques
construisent et consolident dans la tetes de tous les abrutis couverts de peau,
sur le ton pervers persuasif de la pitie du vainqueur et de la colere du vaincu,
le mythe de la domination de la race blanche puisque c'est elle qui deciderait de la vie et de la mort d'autrui, au gre de ses forfaits et de sa pitie,
par l'intermediaire de ses bourreaux et de ses saints
Rappeurs Sermonneurs et Peres Humanitaires,
oh grands Saints! vous vous disputez la souffrance/sang noire et la pitie/pognon blanche,
ingredients necessaires a votre bonne soupe miam-miam les bons sous.
Le negre,
invention du blanc,
pompee par des negres malins,
pour baiser les "nous sommes tous freres"
(bon la faut distinguer le frere des noirs entre noirs nous les noirs
fonde sur l'apparence/peau,
du frere des chretiens tous des freres
malgre l'apparence/peau
faut pas croire c'est qu'une apparence hein mon frere?)
Pretendre sauver les autres c'est les traiter de cons,
les aider c'est leur prouver sa superiorite,
leur offrir l'hospitalite c'est leur rappeller qu'ils ne sont que des invites,
donc simplement toleres
(hein les arabes, l'hospitalite ca vous connait?!)
... etc...PIEGES DE LA BONTE...
...c'est de bonne guerre...
Bon ok vous allez dire
- mais pourquoi ces propos racistes, soi-disant inoffensifs sur tes disques Costes, mais en tout cas agressifs et chiants...
- oui oui j'y viens...
"JE HAIS LES RACES"
suite au prochain episode
6 aout 1996
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